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Prévention routière

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Le 04-05-2017

Article publié le 15/04/2017 par le journal "Le Petit Bleu"

Saint-Caprais joue la carte de la prévention routière


Emile Davelu, pour l'association L.N.A 47, le major Michel Garnier de la gendarmerie et Mickaël Martin ont sensibilisé les élèves. (Photo PB Jérôme Lacoste)

Mercredi matin, les élèves des classes de seconde du lycée Saint-Caprais ont été sensibilisés aux dangers de la route. Une action chaperonnée par l'association LNA 47 (Laurent, Nathalie et les autres). En salle Chateaubriand, les lycéens ont échangé durant plus de trois heures avec des intervenants au cours d'une conférence-débat sur les causes des accidents de la route. Parmi les facteurs les plus
fréquents, figurent en tête de liste : l'alcool, la drogue, la vitesse, la fatigue, le téléphone au volant, l'inexpérience, etc. La démonstration de désincarcération initialement prévue n'ayant pu se faire, le débat a été rallongé d'une heure. Preuve de l'intérêt porté par la jeunesse à ce sujet qui mérite d'être abordé en profondeur. La matinée d'information autour de la prévention routière, organisée en partenariat avec
l'association «L.N.A 47» (pour Laurent, Nathalie et les autres), qui intervient un peu partout en Lot-et-Garonne, a permis de faire passer différents messages par des personnes qui, ayant un vécu et une perception de la route et de ses dangers, se rejoignent sur un point : la sécurité. Emile Davelu, président de L.N.A 47, a rappelé quelques chiffres essentiels.

«Arrêter le massacre»


En 2016, la route a ainsi fait en France près de 3 469 victimes, un chiffre en hausse par rapport à l'année précédente de 0,2 % (3 461 en 2015). Concernant notre département, il y a eu 25 morts sur les routes en 2016 contre 30 en 2015, mais le président, qui est loin de s'en satisfaire, exprime un souhait : «Arrêter le massacre». Mickaël Martin, accidenté de la route, a quant à lui parlé de sa vie après son accident sous le couvert de l'association L.N.A 47. Quant au major Michel Garnier, qui a aussi pris part au dialogue en évoquant son vécu à la Gendarmerie Nationale, il a par exemple cité des accidents qui ont marqué sa mémoire de gendarme. «À Castillonnès, deux personnes sont mortes en sortant de boîte de nuit». Un exemple bien souvent évoqué lors de ces journées d'information mais qui mérite d'être repris et répété. À l'issue de la rencontre, l'objectif est de faire comprendre le bien fondé des règles de sécurité routière
(distance de sécurité, port de la ceinture…), mais aussi de sensibiliser à certains dangers et aux conséquences d'un accident.

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